VSV : L’OPPOSANT POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA NZOMAMBU EN DANGER DE MORT- RDC

VSV : L’OPPOSANT POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA NZOMAMBU EN DANGER DE MORT- RDC

vsvDIOMI HOPITAL MAI 2016

COMMUNIQUE DE PRESSE N° 013/RDC/VSV/CE/2016

RDCONGO : L’OPPOSANT POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA NZOMAMBU EN DANGER DE MORT

La Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV) est vivement préoccupée par la dégradation prononcée de l’état de santé de monsieur Eugene Diomi Ndongala Nzomambu, président du parti politique de l’opposition « Démocratie Chrétienne (DC) » et porte-parole de la plateforme politique «  Majorité Présidentielle Populaire  (MPP) » soutenant M. Etienne Tshisekedi, principal challenger politique au président Joseph Kabila a l’élection présidentielle 2011. M. Eugene Diomi Ndongala Nzomambu est admis en urgence dans une formation médicale de la place depuis le 21 avril 2016 suite à une montée en flèche de la tension artérielle nécessitant des examens spéciaux avec des matériels appropriés.

Selon les informations parvenues à la VSV, M. Eugène Diomi Ndongala Nzomambu encourt un risque d’attaque cardiovasculaire très élevé dû probablement à l’accumulation durant quatre (4) ans de stress, traumatisme et autres tracasseries auxquelles il fait face à la Prison Centrale de Makala après son enlèvement en juin 2012 suivi des traitements cruels, inhumains ou dégradants ainsi que de la condamnation cavalière en 2014 par la Cour Suprême de Justice (CSJ) à dix ans de prison ferme à l’issue d’un verdict rendu nuitamment en l’absence de l’accusé et de ses avocats.

Pour rappel, M. Eugène Diomi Ndongala Nzomambu, avait été condamné pour « viol » sur mineures concernant «  des faits » qu’il aurait commis en juin 2012 (et qu’il a toujours niés comme un montage politico-judiciare) .
…/…
Pour l’opinion publique, la condamnation du président de la DC après un procès complaisant était tributaire de « l’activisme politique » au sein de la « Majorité Présidentielle Populaire (MPP) » perçue jadis comme une plateforme concurrente à la Majorité Présidentielle (MP) au pouvoir à Kinshasa/RDCongo.

Il y a lieu de signaler que tous les frais d’actes médicaux et d’hospitalisation ainsi que la ration et motivation financière de quatre agents de la Police Nationale Congolaise (PNC) commis à sa surveillance à l’hôpital sont à charge du malade seul.

La VSV condamne la politique transfèrement tardif à l’hôpital ou vers des centres médicaux appropriés des prisonniers et autres détenus politiques et d’opinion qui tombent malades dans les milieux carcéraux de la RDCongo prouvant ainsi à suffisant la systématisation d’une politique visant à les tuer à petit feu.

Eu égard à ce qui précède, la VSV invite les autorités Rdcongolaises à :

-Garantir la vie de M. Eugène Diomi Ndongala Nzomambu pour une prise en charge totale et effective de tous les frais relatifs aux ses soins médicaux du concerné jusqu’à son rétablissement complet ;

-Respecter sans coup férir et assurer l’application effective et impartiale des règles minima des Nations Unies sur le traitement des détenu.

Fait à Kinshasa, le 09 mai 2016

LA VOIX DES SANS VOIX POUR LES DROITS DE L’HOMME (VSV)

LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA

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26/11/2011 – 26/11/2015 / PONA KONGO: NOUS CONGOLAIS, LES DAMNES DE LA TERRE – HOMMAGE AUX KINOIS TOMBES LE 26/11/2011 A L’AEROPORT INTERNATIONAL DE NDJILI

CARNET D’UN PRISONNIER POLITIQUE EN R.D.CONGO


EUGENE DIOMI NDONGALA: PONA KONGO

PONA KONGO: NOUS CONGOLAIS, LES DAMNES DE LA TERRE – HOMMAGE AUX KINOIS TOMBES LE 26/11/2011 A L’AEROPORT INTERNATIONAL DE NDJILI

par FreeDiomi

Le 26 Novembre 2011 : le dernier jour de campagne électorale marqué par le sang des congolais massacrés à l’aéroport de Ndjili: voilà pourquoi j’ai choisi de condamner l’imposture

Comment effacer ces images insoutenables de ma mémoire? Comment oublier l’image d’Étienne Tshisekedi debout, pendant des heures, dans son véhicule tenant tête à l’inspecteur de la Police congolaise, le Général Bisengimana, qui lui barrait la route afin de l’empêcher de rejoindre la capitale, Kinshasa, où il devait tenir son dernier meeting de campagne électorale au stade des Martyrs ?
Le Président Tshisekedi et ses accompagnateurs venaient de risquer leurs vies, car l’atterrissage de leur avion avait été refusé par la Tour de Contrôle de l’aéroport International de Kinshasa à plusieurs reprises, alors qu’ ils rentraient du Bas-Congo, où un énième bain de foule de centaines de milliers de Ne-Kongo avait accompagné et salué le candidat du peuple jusqu’au Pont Marechal. Le même bain de foule s’était reproduit dans toutes les provinces du Congo.
Après avoir quitté la ville de Matadi, l’avion de Etienne Tshisekedi avait tourné dans les cieux pendant des heures avant d’être autorisé, au dernier moment, d’ atterrir à l ‘Aéroport de Ndjili, à quelques minutes seulement d’une panne sèche qui aurait provoqué inévitablement son crash.
Arrivés à Ndjili, tout commença à basculer: les partisans de Tshisekedi étaient brutalement éloigné et nous qui étions sur place pour l’accompagner jusqu’au stade des Martyrs, nous nous retrouvions encerclés par les chars de combats, par des petits blindés et des voitures de police qui nous empêchaient de sortir pas seulement de l’aéroport mais même de nos véhicules.
Pris au piège dans nos voitures, nous essayions d’entamer une négociation avec nos bourreaux mais les pourparlers furent infructueux au point que les esprits s’échauffèrent et pour la première fois le Président Tshisekedi, toujours debout dans son véhicule et face à face avec l’Inspecteur Général de la Police « kabiliste », perdra sa patience légendaire et il commença à traiter l’officier de tous les noms d’oiseaux. La Garde Républicaine encercla tout l’aéroport où un nombre important de citoyens congolais étaient arrivé pour accueillir leur leader, malgré le différentes barricades érigées par les forces du désordre tout au long le Boulevard Lumumba. J’ai l’impression de les entendre encore entonner des chants en honneur de Tshisekedi et nous, les responsables des plate- formes de soutien au candidat à la Présidence de la République, essayions d’alerter la presse et la Monusco de ce qui était en train de se passer dans un aéroport international où tous les vols avaient été annulés.
L’appel lancé à la MONUSCO curieusement n’avait abouti à rien: nous faisions face à l’attitude indifférente des fonctionnaires de la structure onusienne qui nous parlaient comme s’ils avaient plus urgent à faire… Nous comprenions vite que nous devions compter seulement sur nous même: d’abord, il fallait protéger le Président Tshisekedi, dont l’altercation avec Bisengimana était devenue âpre; après, rechercher un moyen pour briser le cordon militaire qui nous cernait en plein parking de l’aéroport international.
La présence de la presse internationale comme Al-Jazira, nous était de réconfort car jamais on aurait pu imaginer la suite des évènements dont la chaîne du Qatar détient les enregistrements vidéo.
Nos téléphones sonnaient en continuation: on nous signalait que la garde dite « Républicaine » (encore une inversion sémantique) avait ouvert le feu sur les congolais qui voulaient se rendre à l’aéroport pour accueillir leur candidat à l’élection présidentielle. Beaucoup de Kinois étaient en train d’être fauchés par les balles réelles tirées à bout portant et d’autres étaient tenus à distance par des bombes lacrymogènes ou bien des canons à eau, une eau mélangée avec des substances corrosives et toxiques qui brûlaient la peau des infortunées qui en étaient aspergés.
En quelques minutes, tout a commencé à basculer autour de nous: la garde républicaine, la police et les militaires de la forces terrestre ont commencé à ouvrir le feu sur les citoyens congolais qui étaient regroupés tout au tour de d’aéroport, les mains nues face au kalachnikovs.
Nous tous, prisonniers dans nos voitures, incapables même d’ouvrir les portières, fûmes, au début, surpris; c’était une scène incompréhensible et extrêmement violente :
les jeunes, les vieux, les femmes présents dans le parking de l’aéroport internationale de Ndjili, commencèrent à fuir de tous les côtés pour échapper aux balles réelles et même aux militaires et à la police qui volaient les appréhender physiquement. Beaucoup perdaient leurs chausseurs, leurs vêtements essayant de fuir dans toutes les directions. Les scènes les plus affreuses furent celles des vieux, des dames et des jeunes qui tombaient comme du gibiers sous les balles de leurs affreux « chasseurs ». Après 20 minutes de tirs d’armes à feu qui tonnaient dans toutes les directions, le parking autour des voitures du cortège du candidat Tshisekedi se vida, la fumée des fusils et s se dispersa et autour de nous, ouvrant les fenêtres des voitures, nous pouvions compter un grand nombre d’ hommes et de femmes blessés et aussi des nombreux cadavres.
Les policiers entouraient complètement les voitures du cortège de Tshisekedi et ils étaient si proches qu’ils nous empêchaient d’ouvrir les portières. La nuit tomba et les militaires de la GR commencèrent à ramasser les corps sans vie et les blessés, tous conduit vers une destination inconnue. Le parking de l’aéroport était plein de chaussures abandonnées par ceux qui étaient tombés sous les balles.
L’air était devenu à peine respirable car les gaz lacrymogènes commençaient à peine à se dissiper. Nous n’avions d’autre choix que de rester dans les voitures et ainsi, passer la nuit, craignant que les affreux autour de nous puissent physiquement aussi à notre candidat.
Nous étions des otages mais aussi des témoins gênants du carnage qui avait eu lieu sous nos yeux.
Je me rappelle du visage ensanglanté d’un jeune qui touchait sa tête ouverte par une blessure béante et qui nous regardait et regardait sa main ensanglantée et qui répétait inlassablement: pourquoi, pourquoi, pourquoi, avant de tomber à terre.
Il n’y avait ni de croix rouge ni d’ ambulance de la Monusco: les blessés et les morts étaient brutalement jetés sur les camions militaires et acheminés vers une destination inconnue.
La nuit était interrompue par des coups de balles sporadiques. Notre prise en otage n’ avait pas ému ni la communauté internationale ni la Monusco. La télévision Al-Jazeera arriva à retransmettre les images indescriptibles du carnage mais cela resta impuni, dérangeant à peine l’indifférence habituelle du reste du monde envers ce qui touche les damnés de la terre, nous, le peuple congolais.
Le matin suivant, la police politique aux ordres du Général Bisengimana ouvra son blocus et donna l’ordre au cortège de quitter l’aéroport de Ndjili. Tout au long le Boulevard Lumumba, les indices de ce qui avait eu lieu la veille étaient nombreux: des bombes lacrymogènes explosées, des traces de sang et encore et toujours ces babouches, abandonnées par les kinois soumis à la « mattanza » du 26 novembre 2011.
Le 27 novembre 2011 je me suis dit qu’ une lutte âpre contre un adversaire capable de tout nous attendait: « PONA KONGO », il faillait continuer à se battre, les mains nues face aux kalachnikovs.
Malgré les menaces, les tortures et les humiliations de toutes sortes subies, je ne cesserai jamais de condamner l’imposture: je le dois aux kinois tombés le 26 novembre 2011, les martyrs méconnus et sans sépulture d’une Démocratie qui doit encore naître.
Je suis certain que l’histoire me donnera raison.
Eugène Diomi Ndongala,
Carnet d’un Prisonnier Politique en RDC
LA VIDEO DE AL-JAZEERA REDIFFUSEE PAR EURO-NEWS
https://diomiponakongo.wordpress.com/2014/05/10/pona-kongo-chapitre-i-les-damnes-de-la-terre/

LE FORUM DE LA SOCIETE CIVILE DEMANDE LA LIBERATION DU PRESIDENT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, EUGENE DIOMI NDONGALA ET LES AUTRES PRISONNIERS POLITIQUES / DOCUMENT

LE FORUM DE LA SOCIETE CIVILE DEMANDE LA LIBERATION DU PRESIDENT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, EUGENE DIOMI NDONGALA ET LES AUTRES PRISONNIERS POLITIQUES / DOCUMENT

par FreeDiomi le 25 novembre 2015
DIOMI ET TSHISEKEDI A LA MESSE DE LA MPP

D E C L A R A T I O N F I N A L E. Forum National de la Société Civile de la RDC.

25 nov. 2015

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D E C L A R A T I O N F I N A L E
Du Forum National de la Société Civile
Organisé par l’Institut de Recherche en Droits Humains (IRDH) et la Voix des Sans Voix Pour les Droits de l’Homme (VSV)
Centre Lindonge de Kinshasa, le 24 novembre 2015

Nous, Organisations Non Gouvernementales de la Société Civile, réunies au Centre Catholique Lindonge de Kinshasa, les 23 et 24 novembre 2015, afin d’analyser les questions d’actualité liées au processus électoral et à la consolidation de l’Etat de Droit en République Démocratique du Congo (RDC) ;
Ayant entendu la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) sur l’état des lieux du processus électoral et le point de vue de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) sur la nécessité et les chances d’aboutissement d’un dialogue ;
Préoccupées par l’augmentation des cas de restriction des libertés publiques notamment les libertés d’association, de manifestations publiques, d’expression, d’opinion, de la presse; des arrestations et détentions arbitraires opérées principalement par les services de sécurité ainsi que des condamnations des leaders politiques et activistes pro démocratie;
Considérant la nécessité de protéger les défenseurs des droits humains, les journalistes et les leaders d’opinion politiques, pendant le processus électoral;
Ayant analysé le rôle que doit jouer le pouvoir judiciaire pendant le processus électoral, en particulier par la Cour constitutionnelle ;
A l’issue des débats en séances plénières et travaux en ateliers, qui ont analysé neuf présentations faites par des experts, parmi lesquels certains soutiennent la thèse de la tenue d’un dialogue avant l’organisation des élections et d’autres qui s’y opposent craignant qu’il ne contribue à la violation de la constitution notamment ses articles 70 et 220;
Demandons au Gouvernement d’assumer ses obligations constitutionnelles et conformes aux engagements de la RDC résultant notamment de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, du Pacte International relatif aux droits civils et politiques et la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples en matière de protection des droits et libertés fondamentales de citoyen et de la démocratie;
Que par rapport aux obligations sus évoquées, le Gouvernement doit protéger, assurer et faciliter l’expression de la volonté du peuple, souverain primaire de qui émane tout pouvoir politique, individuellement, comme simple citoyen, ou en groupe, à travers notamment des partis et regroupements politiques ;
Déclarons ce qui suit, en rapport avec :

  • La protection des droits et libertés des citoyens, notamment les libertés d’opinion, d’expression, d’association, ainsi que le droit de manifester publiquement et pacifiquement.

Les participants appellent le Gouvernement à :

  1. Respecter et faire respecter la loi portant organisation et fonctionnement des partis politiques et sanctionner les dédoublements des partis politiques qui constituent une source des violences et troubles de l’ordre public dans plusieurs provinces ;
  2. Collaborer avec les partis politiques et organisations de la société civile légalement établis, afin de faciliter l’éducation civique de la population et l’encadrement de leurs activités notamment les manifestations publiques ;
  3. De mettre fin aux abus des services de sécurité et faire sanctionner leurs responsables qui ne respectent pas les règles de procédure.
  • La sécurité des journalistes, défenseurs des droits humains et leaders d’opinion.

Les participants demandent au Gouvernement de :

  1. Faire libérer les prisonniers politiques ou d’opinion dont les leaders du mouvement Filimbi Yves MAKWAMBALA et Fred BAUMA; du dirigeant de la Synergie Congo Culture et Développement, M. Christopher NGOY MUTAMBA ; de monsieur Paul KIKUKAMA détenu à Lubumbashi ; du dirigeant de l’association Lwanzo Lwa Mikuba et député honoraire VANO KIBOKO ; (SCODE), Jean-Claude MUYAMBO KYASSA, M. Ernest KYAVIRO du RCD/KML. M. Eugène DIOMI NDONGALA [Président de la Démocratie Chrétienne et Porte Parole de la MPP ];
  2. le journaliste Daniel SAFU…
  3. Lever la mesure de fermeture des chaines des radios et télévisions sur l’étendue du territoire national notamment Radiotélévision JUA, Canal Kin TV, Canal Congo Futur, RLTV,
  • La sécurité du processus électoral et le dialogue politique.

Les participants réaffirment leur ferme attachement à la constitution et aux lois de la RDC et exigent que le Gouvernement et autres institutions du pays en fassent autant.
C’est pourquoi, ils demandent au Gouvernement de prendre les dispositions nécessaires pour sécuriser le processus électoral.
S’agissant du dialogue annoncé par le Président de la République, les participants rappellent que le dialogue est une vertu en démocratie, mais sa tenue ne doit pas constituer ni un préalable ni un obstacle à l’organisation des élections de 2016 dans les délais constitutionnels.
Par ailleurs, les participants demandent à la CENI de réactiver les cadres de concertation CENI-GOUVERNEMENT-PARTIS POLITIQUES, CENI-SOCIETE CIVILE et CENI-PARTENAIRES à l’appui du processus électoral.

  • Le Rôle de la Cour Constitutionnelle

Les participants ont apprécié la mise sur pied de la Cour constitutionnelle, avec un mandat de consolider l’Etat de Droit.
Cependant, le forum a noté le rôle négatif que la Cour constitutionnelle a joué à travers son arrêt rendu à la suite de sa saisine par la CENI en dépit du fait que celle-ci n’est pas qualifiée juridiquement pour la saisir. Elle a fait preuve de manque d’indépendance et a violé la constitution et les lois en ce qui concerne ses compétences.
Les participants rappellent que la Cour constitutionnelle a l’obligation légale de défendre et de protéger la constitution et que son arrêt a servi de base illégale à la nomination par le Gouvernement des commissaires spéciaux et commissaires spéciaux adjoints en violation des dispositions de la constitution qui garantissent des prérogatives aux gouvernements et assemblées provinciaux notamment les articles 2, 3 et 201.
Les participants sont préoccupés par la nomination des commissaires spéciaux et leurs adjoints en violation de l’article 198 de la constitution ; consacrant ainsi un système de gestion du pays fortement centralisé.
Les participants demandent à la Cour Constitutionnelle à respecter la constitution et les lois de la république pour ainsi rassurer l’opinion qu’elle pourra assumer convenablement ses missions pendant le processus électoral.
Fait à Kinshasa, le 24 novembre 2015

Les Organisations participants au Forum de la Société Civile

  1. Action contre l’impunité pour les droits humains (ACIDH)
  2. Agir pour des élections transparentes et apaisées AETA/RECIC
  3. ANJCJT
  4. Association Africaine pour la Défense des droits de l’homme (ASADHO)
  5. Association Congolaise pour l’accès à la Justice (ACAJ)
  6. CACCC
  7. CAFCO
  8. Centre de Droit de l’Homme et du Droit international Humanitaire (CDH)
  9. Centrale Congolaise du Travail (CCT)
  10. Commission Justice et Paix (CJP)
  11. Coalition/Promotion de la Paix au Kasaï Central
  12. CODESCI
  13. CODHO
  14. COFERD
  15. Collectif des Organisations des Jeunes Solidaires du Congo-Kinshasa (COJESKI)
  16. Coordination provinciale Société Civile/Sud-Kivu
  17. Forum des Femmes Ménagères (FORFEM)
  18. GJL/Kisangani
  19. Human Rescue
  20. Institut de Recherche en Droits Humains (IRDH)
  21. Journaliste en Danger (JED)
  22. Justicia ASBL
  23. La Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV)
  24. LACAF
  25. Les Amis de Nelson Mandela pour les Droits de l’Homme (ANMDH)
  26. Les Anges du Ciel
  27. LICOF
  28. LIFDED
  29. LINAPYCO
  30. LIZADEEL
  31. Nouvelle Société Civile Congolaise (NSCC)
  32. Observatoire Congolais des Droits de l’Homme (OCDH)
  33. Protégeons la Vie Humains (PVH)
  34. RCS
  35. REFED/Kasaï Central
  36. RENAF/Sud-Kivu
  37. Réseau National des ONGs des droits de l’homme de la RDCongo (RENADHOC)
  38. RJMP
  39. RRSSJ
  40. SFVS
  41. SOPROP
  42. Syndicat des Enseignants du Congo (SYECO)
  43. Syndicat National des Enseignants Catholiques (SYNECAT)

IL FALLAIT TOUT FAIRE POURQUE DIOMI NDONGALA SE TAISE

IL FALLAIT TOUT FAIRE POURQUE DIOMI NDONGALA SE TAISE

par FreeDiomi le 26 octobre 2015
DIOMI CODHO

IL FALLAIT TOUT FAIRE POURQUE DIOMI NDONGALA SE TAISE

par FreeDiomi le 26 octobre 2012
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IL FALLAIT TOUT FAIRE POURQUE DIOMI NDONGALA SE TAISE

En ce qui concerne M. Diomi Ndongala, nous devons savoir que tout Etat totalitaire n’agit que de cette façon.
Les staliniens étaient passés maîtres en fabrication de fausses preuves et de manoeuvres de bas étage pour souiller et disqualifier les opposants auprès de l’opinion. Soit ces derniers étaient présentés comme des malades mentaux, soit ils devenaient des vicieux.
Hannah Arendt le décrit très bien dans sont livre “Les origines du totalitarisme, le système totalitaire”, éditions du Seuil, 1972.

Dans un système totalitaire, “des mensonges énormes, des contre-vérités monstrueuses, peuvent en fin de compte être établis comme des faits incontestables, à ce que l’homme peut être libre de changer de passé à volonté (Joseph Kabila mentant sur son passé et falsifiant les données de sa véritable identité), et à ce que la différence entre la vérité et le mensonge peut cesser d’être objective et devenir une simple affaire de puissance et d’astuce, de pression et de répétition infinie.” (page 59) Ceux qui soutiennent une tyrannie sont toujours présentés comme les plus sains d’esprit et les plus vertueux, leurs opposants les plus séniles et vicieux.

Diomi Ndongala est un talent et c’est incontestable. Il l’a démontré encore de la manière la plus éclatante dans la période post-électorale. Sa constance, sa rectitude, son patriotisme, sa cohérence et sa loyauté ne peuvent souffrir d’aucune contestation.

Diomi Ndongala est de la race des hommes politiques que je qualifie de “spirituels”, c’est-à-dire attachés viscéralement à l’idéal de la cause qu’il défend, quoi qu’il en soit et qu’il en coûte. Mais, comme le dit encore Hannah Arendt: “Le totalitarisme, une fois au pouvoir, remplace invariablement tous les vrais talents, quelles que soient leurs sympathies, par des illuminés et des imbéciles dont le manque d’intelligence et d’esprit créateur reste la meilleure garantie de leur loyauté.” (page 66).

Diomi Ndongala est victime d’un montage honteux par un pouvoir odieux. L’heure des comptes ne tardera pas à sonner. “Ngolo za ngandu mu maza”, disent les Kongo (le crocodile n’est fort que dans son élément).

Buangi Puati Makebo

http://eyinda.com/index.php/vente-achat

http://democratiechretienne.org/2015/10/26/il-fallait-tout-faire-pourque-diomi-ndongala-se-taise-2/

L ‘ALTERNANCE DEMOCRATIQUE NON VIOLENTE ET UN DEVELOPPEMENT DUR ABLE EN AFRIQUE / CARNET D’UN PRISONNIER POLITIQUE EN R.D.CONGO

CARNET D’UN PRISONNIER POLITIQUE EN R.D.CONGO


EUGENE DIOMI NDONGALA: PONA KONGO

L ‘ALTERNANCE DEMOCRATIQUE NON VIOLENTE ET UN DEVELOPPEMENT DURABLE EN AFRIQUE

par FreeDiomi

entete alternance democratique
L’histoire recentre de l’Afrique Centrale peut être considérée comme le paradigme d’une certaine évolution des rapports entre l’Europe et l’Afrique, dans un contexte de mondialisation.
Après la fin de la guerre froide, avec la chute symbolique du mur de Berlin, des dictatures sont tombées en Afrique, dont celle de Mobutu Sese Seko au Congo-Zaïre, qui est resté au pouvoir pendant plus de trois décennies.
La chute du régime mobutiste a été l’œuvre d’une rébellion de façade qui cachait mal une guerre d’invasion, avec un soubassement économique, dont les conséquences néfastes sont toujours perceptibles en République Démocratique du Congo, avec des conflits de basse intensité qui continuent à ajouter des victimes aux millions de morts déjà enregistrés depuis 1996.
Ces bouleversements violents ont provoqué la prise du pouvoir aussi bien en R.D.Congo qu’ en Ouganda, Rwanda, Burundi, de la part d’une classe politique issue de rebellions “de proxy“ des années ‘90. Il s’agit, en d’autres termes, d’un phénomène régional, si pas soutenu, au moins toléré par la communauté internationale pour chasser les dictateurs au pouvoir depuis des décennies.
Les “seigneurs de la guerre”, même s’ils ont tronqué leurs uniformes avec des costumes et cravates, ont continué à être adeptes, jusqu’ aujourd’hui, d’une gouvernance violente et répressive, irrespectueuse aussi bien des droits de l’homme que des droits civils et politiques. Leur gestion économique, dans la majorité des cas, n’a pas assuré ni l’autonomie alimentaire de leurs populations et encore moins le développement durable de leurs pays. Sur le plan régional, le pillage entre états, des plus forts militairement sur les plus faibles, est encore en cours…
Le Congo Démocratique, un des pays potentiellement les plus riches au monde grâce aux nombreuses ressources naturelles, mais aussi le plus pauvre selon l’indice de développement humain, IDH, n’a pas surmonté ce paradoxe économique après la chute de Mobutu, le régime de M. Kabila étant incapable de faire profiter sa population des richesses du pays, à travers une politique de développement durable.
Les régimes des “seigneurs de la guerre”, aussi bien au Congo que dans d’autres pays dont les élites politiques sont issus de rebellions armées, sont souvent stigmatisés à cause de la corruption généralisée, de la répression politique violente et de la “fracture sociale” entre les élites au pouvoir et le reste de la population.
Dans beaucoup de pays africains, une classe dirigeante “kleptocratique” règne sur des masses ravagées par la faim, l’exposition à l’insécurité et dont la conscientisation politique et sociale est limitée par l’analphabétisme de larges couche de la population. Cela abouti d’ ailleurs à des migrations de masse vers l’Europe.

Ce n’est pas un hasard si 80% des membres qui composent l’actuel exécutif en R.D. Congo, par exemple, sont issus des rebellions de “proxy” qui ont ensanglanté notre pays au cours des dernières décennies.

Nous vivons, aujourd’hui, un moment “charnière” de notre histoire car la classe politique issue des mouvements rebelles veut s’éterniser au pouvoir, exactement comme les dictatures qu’elles avaient défaites:
c ‘est le cas du Congo-Kinshasa, mais aussi du Rwanda, du Burundi et du Congo Brazzaville. Mais les anciens “seigneurs de la guerre” doivent faire face à des formations politiques progressistes et des mouvements citoyens qui veulent pacifiquement leur barrer la route.
En d’autres termes, soit l’alternance politique démocratique aura finalement lieu en Afrique, permettant la prise du pouvoir par des nouvelles élites politiques non armées, soit on sacrifiera le futur de plusieurs générations sur l’autel du cycle vicieux de la prise du pouvoir par la force.
L’exemple du Burkina nous rassure sur la capacité des nouvelles générations de s’assumer et de lutter pour la défense de leurs droits civils et politiques. La contre-révolution avortée de l’ancienne garde présidentielle du déchu Président Compaore a prouvé, à la face du monde, que la mobilisation pacifique de la population est en mesure de mettre en échec les velléités rétrogrades des putschistes réactionnaires.
Dans ce momentum” crucial de l’histoire de l’Afrique, le rôle des partis politiques progressistes et celui des mouvements citoyens est central car il leur revient la tache ardue d’accompagner leurs peuples sur les chemins qui conduisent à des véritables processus de démocratisation, capables d’aboutir à la vrai stabilité sociale, politique et économique.
En effet, dans beaucoup de pays africains, plus qu’ élire les dirigeants on se limite à voter, sans aucune maitrise du processus électoral. C’est d’ailleurs le cas de la RD.Congo depuis une décennie.

Actuellement, la R.D.Congo vit une crise politique de grande envergure due à l’absence de consensus politique sur le processus électoral et consécutive à la stratégie politique du régime Kabila dite du “glissement”, consistant à ne pas organiser les élections pour se maintenir “de facto” au pouvoir

Cela doit changer¨!
En République Démocratique du Congo, les leaders des forces politiques progressistes et non violentes croupissent en ce moment dans les geôles du régime Kabila, qui craint leur capacité de mobilisation et il croit pouvoir bloquer la passation pacifique du pouvoir telle que prévue par la Constitution actuellement en vigueur, musèlent la presse, embastillant les leaders politiques comme votre serviteur, Eugene Diomi Ndongala et les leaders de la société civile engagée comme Christopher Ngoy. Au Rwanda, nous pourrions citer le cas de M.me Ingabire. Au Burundi, la succession d’assassinats politiques sont le produit d’une politique de violation de la Constitution et de la volonté de confisquer le pouvoir par la force.
Voilà pourquoi la problématique de l’alternance pacifique au pouvoir est si importante en ce moment, en Afrique.

  • Que les militaires restent dans les casernes et assurent la sécurité extérieure de leur pays.
  • Que les rebelles ne reçoivent plus des “primes de guerre” assumant des hautes position de pouvoir après avoir commis des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité.
  • Que les acteurs politiques du changement soient soutenus dans leur combat pour la défense des droits civils et politiques des citoyens africains. Qu’il n ait plus de prisonniers politiques dans les cachots- mouroir des régimes liberticides encore au pouvoir en Afrique.

C ‘est cela notre vision pour une Afrique Centrale stable, en paix et surtout capable d’assurer l’alternance politique comme un événement “normal” et “périodique” dans vie politique des jeunes démocraties africaines.

Nous sommes convaincus que la fin du cycle de la gestion du pouvoir d’état par les “seigneurs de la guerre” pourra assurer un meilleur fonctionnement des institutions politiques et une majeure prise en compte des besoins des populations, par des mécanismes de ”accountability” politique vi-à-vis des électeurs et le lancement de politiques de coopération internationale basées sur le transfert de technologie avec les partenaires internationaux et particulièrement ceux européens.
L’Europe et les Etats Unis doivent soutenir la démilitarisation du pouvoir politique en Afrique, plaidant en premier lieu pour la libération des prisonniers politiques et d’opinion, la liberté d ‘expression mais aussi sanctionnant les responsables politiques qui veulent s’accrocher au pouvoir par des changements de Constitutions et par des manœuvres politiques de prolongation inconstitutionnelle de leur mandat.
En effet, le développement économique durable de l’Afrique ne peut que procéder parallèlement à la conscientisation politique de sa population qui doit être soutenue dans sa revendication d’une passation pacifique de pouvoir entre présidents sortant et nouveaux élus.
L’alternance politique joue un rôle crucial dans ce processus de consolidation démocratique des états africains car la confiscation du pouvoir par la force ne peut qu’engendre la dictature, la violence, la répression politique et le sous-développement.

Eugène Diomi Ndongala

PN de la Démocratie Chrétienne, DC,
Prisonnier politique en R.D.Congo

https://diomiponakongo.wordpress.com/2015/10/14/l-alternance-democratique-non-violente-et-un-developpement-durable-en-afrique/

L’IRRESPONSABILITE AU POUVOIR

L’IRRESPONSABILITE AU POUVOIR

par FreeDiomi le 13 octobre 2015
fonds alloues ceni elections
La CENI vient d’ adresser au chef de l’exécutif Kabiliste, une lettre reproduisant le résumé des fonds qui lui ont été alloués depuis 2013 pour le financement des élections.
Selon les chiffres détaillées de la commission Electoral Indépendante, seulement 17% des fonds prévus par le budget national ont été libéré par le Gouvernement Matata.
Des questions s’imposent:

1. Les fonds alloués à la CENI par le parlement depuis 2013 on manifestement été détournés de leur destination budgétaire: qui a autorisé ces détournements et à quelle finalité?
2. Comment et pourquoi, depuis 2013, le parlement de la RDC, dans la reddition des comptes de la fin de l’année budgétaire, n’ont jamais relevé cette anomalie de mauvaise affectation des ressources financière destinées à l’organisation des élections?
3. Pourquoi le Ministre de l’Economie a-t-il menti déclarant publiquement que la CENI recevait régulièrement les fonds nécessaires pour l’organisation des élections?
4. Manifestement, en RDC, il n’y a pas de gestion budgétaire régulière des fonds publiques et la responsabilité incombe aussi bien à l’Exécutif Kabiliste qui ne respecte pas la loi financière qu’au parlement congolais (Assemblée Nationale et Sénat) lesquels, depuis 2013, couvrent ces détournement passant outre la vérification détaillée des redditions des comptes, à la fin de chaque année budgétaire, se prêtant à des négociations nauséabondes…
5. La Cour des Comptes de la RDC ne joue pas son rôle au moins d’organe d’alerte et dénonciation du dysfonctionnement de la gestion de l’argent du contribuable congolais: à cet effet, elle mérite d’être dissoute car inutile.

Alors que le Gouvernement de la RDC ne cesse de se prévaloir de ses propres turpitudes, déclarant qu’il n ‘y a pas d ‘argent pour les élections, le dernier budget national revue à la baisse par rapport à celui de 2014 ne garantit pas au peuple congolais un sursaut de responsabilité de la part du régime Kabila afin que les élections soient enfin organisées, au moins la présidentielle.
Le dysfonctionnement qui est ici dénoncé est « systémique » et donne un bon aperçu de la mauvaise gouvernance qui empêche le redressement économique de la RDC.
fonds alloues ceni elections
http://democratiechretienne.org/2015/10/13/lirresponsabilite-au-pouvoir/

CONGO-BRAZZAVILLE: LE « SASSOUFIT » DE LA POPULATION A L’APPROCHE DU REFEREND UM POUR LE CHANGEMENT DE CONSTITUTION /DOSSIER DC – MISES A JOUR CONTINUELLES

CONGO-BRAZZAVILLE: LE « SASSOUFIT » DE LA POPULATION A L’APPROCHE DU REFERENDUM POUR LE CHANGEMENT DE CONSTITUTION /DOSSIER DC – MISES A JOUR CONTINUELLES

par FreeDiomi le 9 octobre 2015

09/10/2015

Manifestations spontanées aujourd’hui à Brazzaville au Congo contre Sassou . (Images de Bacongo et Talangaï)



LA GUERRE DES CHIFFRES ENTRE GOUVERNEMENT DE LA RDC ET CENI EST DECLAREE. LA CENI DEMENT OFF ICIELLEMENT DE RECEVOIR DE FONDS CONSEQUENTS CHAQUE MOIS POUR L’ ORGANISATION DES ELECTIONS

LA GUERRE DES CHIFFRES ENTRE GOUVERNEMENT DE LA RDC ET CENI EST DECLAREE. LA CENI DEMENT OFFICIELLEMENT DE RECEVOIR DE FONDS CONSEQUENTS CHAQUE MOIS POUR L’ ORGANISATION DES ELECTIONS

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LA GUERRE DES CHIFFRES ENTRE GOUVERNEMEN…ALORS QUE LE MINISTRE DE L’ ECONOMIE DE LA RDC, M. MODESTE BAHATI, A DECLARE PUBLIQUEMENT QUE LE GOUVERNEMENT DE LA RDC VERS…
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La campagne « Congo désir » est arrivée à Uvira dans le Sud-Kivu av ec Freddy Kita, SG de la Démocratie Chrétienne (DC) /FREDDY MULONGO

La campagne « Congo désir » est arrivée à Uvira dans le Sud-Kivu avec Freddy Kita, SG de la Démocratie Chrétienne (DC) /FREDDY MULONGO

La campagne « Congo désir » est arrivée à Uvira dans le Sud-Kivu avec Freddy Kita, SG de la Démocratie Chrétienne (DC)

Par Freddy Mulongo, jeudi 1 octobre 2015 à 08:43 :: Radio Réveil FM International :: #5739 :: rss
Avec son bâton de pèlerin Freddy Kita, Secrétaire Général de Démocratie Chrétienne (DC) est à Uvira, dans le Sud-Kivu à l’Est de la République démocratique du Congo. Il bat campagne pour « Congo désir », un mouvement citoyen, populaire et fédérateur de toutes les sensibilités.
Son message est limpide et simple:

Le Congo doit être désiré plus qu’un ou des individus. La République démocratique du Congo n’a pas besoin d’un homme providentiel, surtout pas d’un imposteur sorti de la cuisse de Jupiter mais des institutions républicaines fortes, attachées aux libertés individuelles et respectueuses aux droits humains de citoyens.


Freddy Kita et les enfants d’Uvira au bord du Lac Tanganyka

A Uvira, Freddy Kita bat campagne « Congo désir » de porte en porte, sans caravane motorisée, mais au contact avec la jeunesse congolaise.
Uvira est une ville martyre, elle a été le théâtre de nombreux troubles et affres des fameuses guerres de libération. Elle est située à l’extrémité du nord du lac Tanganyika. Il a un port important de Kalundu qui relie Uvira à la ville de Kalemie, au Nord de la province du Katanga et la ville de Kigoma en Tanzanie. La ville est à 120 km de Bukavu, la capitale du Sud-Kivu, 60 km de la ville de Baraka dans le territoire de Fizi et 15km de la ville de Bujumbura, la capitale du Burundi.


Freddy Kita au bord du Lac Tanganyka

http://reveil-fm.com/index.php/2015/10/01/5739-la-campagne-congo-desir-est-arrivee-a-uvira-dans-le-sud-kivu-avec-freddy-kita-sg-de-la-democratie-chretienne-dc

COMMUNIQUE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC DU 29/09/2015: NON AU REFERE NDUM CONSTITUTIONNEL – LA RDC DOIT ASSURER LA SECURITE DE SA POPULATION

COMMUNIQUE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC DU 29/09/2015: NON AU REFERENDUM CONSTITUTIONNEL – LA RDC DOIT ASSURER LA SECURITE DE SA POPULATION

par FreeDiomi le 29 septembre 2015
ENTETE COMM 290915

ENTETE COMM 290915
COMMUNIQUE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC DU 29/09/2015:
NON AU REFERENDUM CONSTITUTIONNEL
LA RDC DOIT ASSURER LA SECURITE DE SA POPULATION

La Démocratie Chrétienne, DC, condamne la démarche de certains députés de la majorité factice au pouvoir visant l’adoption d’une loi sur l’organisation du referendum constitutionnel.

Selon des correspondances officielles qui ont été publiées par la presse, cette démarche irrespectueuses, entre autre, du Règlement d’Ordre Intérieur de l’Assemblée Nationale, a été immédiatement soutenue et promue par le gouvernement de M. Kabila.
Dans un climat de forte tension politiques due aux manœuvres politiciennes multiples adoptées depuis une année par M. Kabila pour contourner les dispositions constitutionnelles relatives à la limitation de mandats présidentiels l’empêchant de représenter sa candidature, la seule présentation d’un loi sur le Referendum Constitutionnel nous apparait provocatrice et irresponsable.
La Démocratie Chrétienne a déjà dénoncé et mis en garde le peuple congolais sur la gravité de la situation politique actuelle caractérisée par l’absence de consensus politique sur le processus électoral ainsi que la volonté qui en découle, de la part du régime Kabila, de ne pas organiser l’élection présidentielle dans le délai Constitutionnel.

Cette situation de « vide » plonge la RDC dans une Crise Politique de grande envergure dont le principal responsable est M. Joseph Kabila, qui poursuit des visées de conservation « de facto » du pourvoir après l’échéance de décembre 2016, sombrant le pays dans l’inaction politique.

La volonté d’adopter, à la fin de la législature, un projet de loi non prévu par le calendrier parlementaire et dont l’existence à été dénoncée grâce à la vigilance des formations politiques de l’opposition et de la société civile, cache mal le projet macabre de plonger la RDC dans l’aventure du changement de Constitution afin de permettre à M. Kabila de briguer d’autres mandats.
La Démocratie Chrétienne dénonce l’attitude passive de M. Kabila qui viole ses devoirs Constitutionnels lui imposant de lancer un véritable processus électoral en RDC et de se plier au devoir de l’alternance politique inscrit dans la loi fondamental de notre pays.

L’organisation d’un referendum constitutionnel est malvenue, provocatrice et elle risque d’obliger le peuple congolais de faire appelle à l’art 64 de la Constitution afin de sauvegarde son droit à l’alternance politique.

Egalement, la DC tient- elle à alerter l’opinion nationale et internationale sur la menace pour la paix représentée par les manœuvres militaires actuellement en cours en RDC et apparemment consécutives à l’Accord militaire souscrit à Kigali le 20/09/2015 entre les Ministres de la Défense du Rwanda et de la RDC.
Il est, en effet, inacceptable que l’exécutif Kabila refuse l’assistance de la Brigade Internationale et de la Monsuco pour traquer les groupes armées qui sévissent encore nombreux à l’Est de la RDC, pour accepter, à la place, la coopération active militaire du Rwanda, sur le territoire congolais, pour la traque des FDLR, après les échecs des opérations Kimia I et kimia II ainsi que l’échec de l’opération Umoja Wetu, qui ont provoqué des massacres de populations civiles, déplacements massifs de la population congolaise et, encore une fois, l’instauration de réseaux politico-militaires d’exploitation illégale des ressources naturelles sur le territoire congolais.
Cela étant, il nous apparait inconcevable que les troupes congolaises en place dans des zones d’insécurité comme Nyrangongo ou bien Rutshuru, soient abandonnées, avec retrait même des armes lourdes, par les FARDC, alors que le principal poste de défense de la RDC à l’Est de la RDC, La base militaire de Rumangabo, a déjà fait l’objet d’un attaque meurtrier et de vol d’armes lourdes il y a seulement quelques jours.
Les intérêts supérieurs de la République Démocratique du Congo au respect de sa Constitution ainsi qu’ à la garantie de la sécurité de sa population doivent toujours primer sur les intérêts égoïstes des individus.

NON AU REFERENDUM CONSTITUTIONNEL.

LA SECURITE DES POPULATIONS A L’EST DE LA RDC DOIT ETRE ASSUREE.

Vérité et Justice pour le Congo,
Kinshasa, le 29/09/2015,
Freddy Kita,
Secrétaire General de la Démocratie Chrétienne, DC

FLASH: LE TEXTE DU PROJET DE LOI SUR LE REFERENDUM: LA REVISION CONSTITUTIONNELLE LE SEUL OBJECTIF FONDAMENTAL

FLASH: LE TEXTE DU PROJET DE LOI SUR LE REFERENDUM: LA REVISION CONSTITUTIONNELLE LE SEUL OBJECTIF FONDAMENTAL
http://democratiechretienne.org/2015/09/28/flash-le-texte-du-projet-de-loi-sur-le-referendum-la-revision-constitutionnelle-manifestement-le-seul-objectif-fondamental-de-ce-projet-de-loi-scelerate/

FLASH: LE TEXTE DU PROJET DE LOI SUR LE REFERENDUM: LA REVISION CONSTITUTIONNELLE MANIFESTEMENT LE SEUL OBJECTIF FONDAMENTAL DE CE PROJET DE LOI SCELERATE

par FreeDiomi le 28 septembre 2015

referendum1
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Un vent favorable nous a fait parvenir le projet de loi sur le REFERENDUM en RDC tel que présenté par deux députés de la majorité, dans un contexte de forte suspicion qui pèse sur le régime Kabila d’être affecté par le syndrome de « mimétisme » envers d’autres régimes, comme celui de M. assou Nguesso, du Congo -Brazzaville, ou bien celui de M. Kagamé, du Rwanda, en vue d’organiser un REFERENDUM CONSTITUTIONNEL pour permettre au « président sortant » de la RDC, M. Joseph Kabila, de briguer un nouveau mandat, interdit par l’actuelle Constitution en vigueur en République Démocratique du Congo.

Le texte du Projet de Loi sur le Referendum limite curieusement la possibilité d’utiliser cet instrument juridique général à seulement 3 hypothèses explicitement indiquées:

  1. le changement du siège de la capitale de la RDC;
  2. Le changement d’articles de la Constitution;
  3. L’ajout ou bien la cession du territoire national.

Il sied de souligner que le points 1 et 3 doivent, en réalité, être reconduits tous au points 2, concernant la révision de la Constitution car aussi bien le siège de la capitale que l’ajout et la cession du territoire national sont garantis par la Constitution.
Cela veut dire que le seul objet de ce projet de loi est bel et bien exclusivement la révision de la Constitution, comme la Démocratie Chrétienne, DC, avait tenu a dénoncer.
Cela étant, la Démocratie Chrétienne invite le peuple congolais à faire barrage à l’adoption de ce projet de loi scélérate dont le seul et vrai objectif politique est celui de baliser la route à un troisième mandat inconstitutionnel pour M. Kabila.
Disons NON à l’imposture.
Vérité et Justice pour le Congo,

Marc Mawete,
Porte parole adj DC

RDC : le CODHO plaide pour la libération des prisonniers politiques /AFRIKARABIA

RDC : le CODHO plaide pour la libération des prisonniers politiques /AFRIKARABIA

par FreeDiomi le 28 septembre 2015
Prisooniers-politiques-RDC-2

Prisooniers politiques RDC 2RDC : le CODHO plaide pour la libération des prisonniers politiques

27 sept 2015
congo, prisonniers politiques, RDC
par Christophe RIGAUD

A un peu plus d’un an de l’élection présidentielle en République démocratique du Congo (RDC), le Comité des Observateurs des Droits de l’Homme (CODHO) exige la libération des prisonniers politiques et d’opinion « victimes d’une justice sous les ordres du pouvoir ».

Prisooniers politiques RDC 2

Le climat de défiance s’accentue envers le président Joseph Kabila à Kinshasa. L’opposition redoute que le chef de l’Etat ne cherche à retarder le cycle électoral pour se maintenir au pouvoir au-delà de 2016. La Constitution interdit en effet à Joseph Kabila de briguer un troisième mandat et en janvier 2015, les manifestations contre un troisième mandat du président Kabila avaient été violemment réprimées par les forces de sécurité. Les ONG internationales dressaient un bilan « d’au moins 42 morts ». Dans ce contexte de tension politique extrême, les ONG des droits de l’homme craignent une aggravation de la répression politique. Le Comité des Observateurs des Droits de l’Homme (CODHO) dénonce, lui, ceux qui sont déjà emprisonnés pour leur opinion politique.
« Grossière mise en scène »

Depuis plusieurs années, nombreux sont les responsables politiques de l’opposition qui sont passés par la case prison, ou sont encore détenus dans les geôles de Makala, la prison centrale de Kinshasa. Le CODHO vient de lancer un appel pour libérer ces prisonniers politiques et d’opinion qu’il considère comme « victimes d’une justice sous les ordres du pouvoir exécutif, c’est à dire le président et le gouvernement de la République ». Le comité dénonce l’incarcération de cinq détenus politiques et trois d’opinion. L’un des plus anciens est le président de la Démocratie Chrétienne (DC), Eugène Diomi Ndongala, en charge de mettre en place la contestation pour le compte de l’opposant Etienne Tshisekedi, après la réélection contestée du président Joseph Kabila en 2011. Enlevé en 2012 et relâché la veille de la venue de François Hollande, Diomi Ndongala est de nouveau arrêté en avril 2013 pour une affaire de moeurs, qualifié de « grossière mise en scène visant à son élimination politique ». Il est condamné en mars 2014 à 10 ans de prison ferme.

Les anciens alliés de la majorité particulièrement visés
Jean-Claude Muyambo était membre de la majorité présidentielle (MP) et président de son propre parti politique, Solidarité congolaise pour la démocratie et le Développement (SCODE). Après s’être opposé publiquement contre un troisième mandat de Joseph Kabila, la justice congolaise s’est subitement manifestée en l’accusant « d’abus de confiance, de menaces d’attentat et de rétention de documents ». Son arrestation a lieu le 20 janvier 2015, la veille des importantes manifestations pour « le respect de la Constitution » à Kinshasa et Goma, auxquelles la SCODE participait. Le CODHO dénonce « des chefs d’inculpation factices pour un procès politique visant à faire taire Jean-Claude Muyambo ». « Il encoure le risque de peine de mort » s’inquiète le comité. Le secrétaire général de la SCODE, Cyrille Dowe Mupampa, a lui aussi été interpelé à la veilles des manifestations de janvier. Détenu au secret pendant 156 jours dans les geôles de l’ANR, les services de renseignements congolais, il a ensuite été transféré à la prison de Makala à Kinshasa.
Détentions extra-judiciaires
Egalement dans le collimateur de la justice congolaise : Vano Kalembe Kiboko, président de l’association katangaise LLM. Cet ancien élu de Kolwezi a été condamné en septembre 2015 à 3 ans de prison pour « haine raciale, tribalisme et divulgation de faux bruits ». On lui reproche une manifestation organisée en décembre 2014 contre le démembrement du Katanga et la nouvelle loi de décentralisation. La police avait violemment réprimé cette marche. Au Nord-Kivu, Jean-Louis Ernest Kyaviro a tout d’abord été enlevé par l’ANR au cours des manifestations de janvier 2015 à Goma. Détenu lui aussi en dehors de toute procédure judiciaire dans les cellules des services de renseignements pendant 87 jours, il est transféré à la prison de Makala en juin 2015. Cet élu de Beni est accusé « d’atteinte à la sûreté de l’Etat et d’incitation à la désobéissance civile ». Il risque la peine de mort.
10 chefs d’accusation
Au rang des détenus d’opinion, le CODHO dénonce l’incarcération de Christopher Ngoy Mutamba, défenseur des droits de l’homme et président de l’association SCCD. Christopher Ngoy a été enlevé le 21 janvier 2015, en pleine manifestation contre le maintient au pouvoir de Joseph Kabila par les éléments de la Garde présidentielle. Détenu lui aussi au secret par l’ANR, il est accusé « d’être auteur ou coauteur des troubles enregistrés pendant les manifestations de janvier 2015 ». Christopher Ngoy est poursuivi pour 10 chefs d’accusation « sans la moindre preuve » selon le CODHO. Il risque également la peine de mort.
Mouvements citoyens réprimés
L’affaire « Filimbi » et « la Lucha » est elle aussi symptomatique de la répression politique accrue qui règne actuellement à Kinshasa. Frédéric Bauma et Yves Makwambala, tous deux membres de ces mouvements citoyens, ont été arrêtés le 15 mars 2015, à l’issue d’un atelier de formation qui visait à encourager les jeunes Congolais à accomplir leurs devoirs civiques. Des activistes Burkinabé du Balai Citoyen ont également été interpelés, puis finalement relâchés. Bauma et Yves Makwambala sont accusés de « haute trahison » et encourent la peine de mort. La récente chute du président Burkinabé Blaise Comparé sous la pression des mouvements de jeunesse, n’est sans doute pas un hasard dans l’arrestation de ces jeunes activistes africains.
Kamerhe et Katumbi également ciblés
Les autorités congolaises se sont toujours abritées derrière « l’indépendance de la justice » dans ces affaires, arguant que « personne n’était au dessus des lois », même les opposants politiques. Mais le CODHO et avec lui de nombreuses ONG des droits de l’homme, dénonce justement une justice partiale « aux ordres du pouvoir ». On peut en effet remarquer que les anciens alliés de la majorité présidentielle se sont tout de suite vus inquiétés par la justice, dès qu’ils se sont opposés au président Kabila. C’est le cas de Jean-Claude Muyambo, mais aussi, dans une moindre mesure puisqu’ils n’ont pas été incarcérés, de Vital Kamerhe, l’ancien bras droit de Kabila passé dans l’opposition avec une vieille affaire de diffamation, ou encore de Moïse Katumbi, qui a été la cible d’une plainte du chef de l’Etat. Katumbi qui pourrait prochainement annoncé sa candidature à la prochaine élection présidentielle.
Christophe RIGAUD – Afrikarabia.com

http://democratiechretienne.org/2015/09/28/rdc-le-codho-plaide-pour-la-liberation-des-prisonniers-politiques-afrikarabia/

MATATA VEUT LANCER LA REPUBLIQUE DANS L’AVENTURE DU REFERE NDUM POUR LE CHANGEMENT DE CONSTITUTION / DOCUMENT OFFICIEL

MATATA VEUT LANCER LA REPUBLIQUE DANS L’AVENTURE DU REFERENDUM POUR LE CHANGEMENT DE CONSTITUTION / DOCUMENT OFFICIEL

par FreeDiomi le 26 septembre 2015
referendum
referendum
Selon une lettre officiel qui circule sur le net et que nous publions en annexe, M. Matata Ponyo, Premier Ministre du gouvernement de la RDC, demande au Ministre de l’Intérieur de prendre ses disposition en vue de la présentation d’une proposition de loi visant l’organisation d’un Referendum Constitutionnel en RDC.
Il ne faut pas être des magiciens pour comprendre que le réchauffement de cette manœuvre visant la prolongation du mandat du « président » sortant, M. Kabila, a été surement inspirée par la démarche parallèle du Président congolais Sassou Nguesso, qui vient de recevoir la visite de son homologue du Congo – Kinshasa il y a seulement quelques jours et qui a déjà annoncé sa volonté d’organiser un Referendum Constitutionnel en vue de modifier la constitution du Congo-Brazzaville.
N’empêche que la recette risque de ne pas aboutir à un plat consommable par le peuple congolais.
Néanmoins, en tant que sentinelle de la RDC, notre parti lance l’alerte pour que le peuple congolais ne soit pas surpris par cette énième manœuvre visant la confiscation du pouvoir en R.D.Congo.
Vérité et Justice pour le Congo,
DC

GRAVE CRUAUTE DE M. KABILA ENVERS UN OPPOSANT POLITIQUE REDOUTABLE DE LA RDC / INTERPRETE DU 21/09/2015

GRAVE CRUAUTE DE M. KABILA ENVERS UN OPPOSANT POLITIQUE REDOUTABLE DE LA RDC / INTERPRETE DU 21/09/2015

par FreeDiomi le 21 septembre 2015
interprete 210915 001
interprete 210915 001
http://democratiechretienne.org/2015/09/21/grave-cruaute-de-m-kabila-envers-un-opposant-politique-redoutable-de-la-rdc-interprete-du-21092015/

» Congo Désir » salue le vent nouveau qui souffle sur la RDC /TEMPETE DES TROPIQUES

» Congo Désir » salue le vent nouveau qui souffle sur la RDC /TEMPETE DES TROPIQUES
par FreeDiomi le 21 septembre 2015
TEMPETE DU 210915 001

TEMPETE DU 210915 001

» Congo Désir » salue le vent nouveau qui souffle sur la RDC

freddy kita
Une déclaration solennelle faite vendredi 18 septembre 2015 à Paris par le secrétaire généralde la Démocratie Chrétienne, Freddy Kita, sur la campagne politique citoyenne » Congo Désir « , constate qu’un vent nouveau souffle sur la République démocratique du Congo.
Prenant la parole, le SG Freddy Kita a soutenu que les Congolais ont besoin d’une vision claire pour leur nation, capable de combiner le » Congo positif » avec une » critique objective de la mauvaise gouvernance « , une vision en mesure de reconstruire l’image de la RDC tout en luttant, sans ambiguïté, contre le culte de la personnalité, une présidence à vie, bref, contre toute politique qui voudrait ôter l’espoir du changement au peuple congolais.
» Congo Désir » appelle les Congolais à combattre les anti-valeurs et le népotisme prônés par un » régime qui n’a plus rien à offrir au peuple congolais « .

» Voilà pourquoi Congo Désir est notre cheval de bataille pour le changement et surtout notre réponse à ceux qui, tout en siégeant au sein du gouvernement, après avoir prêté serment de respecter la Constitution, osent lancer des campagnes qu’on pourrait définir, paradoxalement, de désobéissance civile, essayant de convaincre le peuple congolais de faire table rase de l’actuelle Constitution afin de pérenniser Joseph Kabila à la tête de l’État congolais « , a dit Freddy Kita, faisant allusion à la campagne » Kabila Désir « .

RDC : un scandale géologique, mais avec une population très pauvre
La RDC constitue un scandale géologique pour sa richesse minière, mais l’exécutif Kabiliste a été incapable de faire profiter au peuple congolais de hausses exceptionnelles des prix des minerais de ces dernières années, amplifiant, bien au contraire, année après année, la » fracture sociale » entre une clique de copains au pouvoir qui se partagent allègrement les richesses du Congo et le reste de la population congolaise qui continue à vivre avec un dollar par jour de revenu individuel, peut-on lire dans cette déclaration.
» Congo Désir » veut être aussi un slogan pour la renaissance de la RDC dont la puissance économique, la richesse en biodiversité, les potentialités agricoles, sans oublier son peuple digne et travailleur, pourraient en faire le » Dragon Economique » d’Afrique, explique-t-on.
Pour le géniteur de » Congo Désir « , le voyage de Joseph Kabila en Chine, » manifestement à la recherche de nouveaux soutiens « , rappelle l’échec retentissant de ce qu’on avait appelé les » Contrats chinois « , un deal opaque dont la seule certitude, pour le peuple congolais, a été l’hypothèque de 32 milliards d’actifs miniers de la société étatique « Gécamines » en échange de prétendues actions et projets de développement restés inconnus à ce jour et dont aucun rapport n’a été fait au peuple congolais.
« Congo Désir » n’est pas resté indifférent à la dernière » bourde » de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) qui a saisi la Cour constitutionnelle afin de modifier son calendrier électoral que la Démocratie Chrétienne avait, depuis des mois, jugé irréaliste, irréalisable et impossible à financer.
Selon cette structure, le dernier arrêt de la Cour constitutionnelle, rendu public mardi 8 septembre 2015, prouve que la DC avait vu juste et que laRD Congo s’achemine vers un glissement non désiré par lesCongolais.

» La CENI ne fait que confirmer, par sa gestion calamiteuse du processus électoral, son caractère partisan et son inféodation à la majorité kabiliste » , souligne la déclaration.

L’enrôlement de nouveaux majeurs est possible
Pour « Congo Désir » , l’enrôlement des électeurs en général, particulièrement de nouveaux majeurs, en vue de l’élection présidentielle, est bel et bien possible. Et de poursuivre, l’actuel régime au pouvoir en RDC sera tenu pour responsable de la non tenue de l’élection présidentielle dans les délais exigés par la Constitution.

Freddy Kita insiste, également, qu’il y ait décrispation du climat politique en RD Congo. Cela devra se concrétiser, estime-t-il, par la libération des prisonniers politiques, la réforme de la Ceni, l’enrôlement des électeurs et de nouveaux majeurs, l’effacement du calendrier électoral des élections locales et provinciales impossibles à se tenir, la déclaration solennelle de Joseph Kabila de respecter la Constitution en ce qui concerne la tenue de l’élection présidentielle dans les termes dictés par la Constitution en vigueur,l’annulation de la loi de programmation du démembrement administratif établissant les nouvelles provinces.

La Démocratie Chrétienne, battant sa campagne de conscientisation aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de la RDC, promet de continuer à barrer la route aux stratégies antipatriotiques qui veulent plonger la RD Congo dans les marasmes d’une dictature » fascisante « .
La DC prévient que s’il n’y a pas d’action dans le sens de décrisper le climat politique en RDC, » nous allons soutenir l’adoption de sanctions internationales contre les ténors du régime, pour qu’ils arrêtent de prôner leurs campagnes de désobéissance civile de violation de la Constitution congolaise en Occident, donnant ainsi une image très négative du Congo démocratique et de son peuple « .

Par LefilsMatady

http://latempete.info/congo-desir-salue-le-vent-nouveau-qui-souffle-sur-la-rdc/

http://democratiechretienne.org/2015/09/21/congo-desir-salue-le-vent-nouveau-qui-souffle-sur-la-rdc-tempete-des-tropiques/

LES CONCERTATIONS SECRETES DES ENVOYES SPECIAUX DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE AVEC CEUX DE L’UDPS AURAIENT ACCOUCHE DU PREALABLE DE LA LIBERATION DE TOUS LES PRISONNIERS POLITIQUES / JOURNAL INTERPRETE DU 18/09/15

LES CONCERTATIONS SECRETES DES ENVOYES SPECIAUX DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE AVEC CEUX DE L’UDPS AURAIENT ACCOUCHE DU PREALABLE DE LA LIBERATION DE TOUS LES PRISONNIERS POLITIQUES / JOURNAL INTERPRETE DU 18/09/15

par FreeDiomi le 18 septembre 2015
entete interprete du 180915 001
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http://democratiechretienne.org/2015/09/18/le-concertations-secretes-des-envoyes-speciaux-de-la-majorite-presidentielle-avec-ceux-de-ludps-auraient-accouche-du-prealable-de-la-liberation-de-tous-les-prisonniers-politiques-journal-interpret/

7 PARTIS POLITIQUES DE LA MAJORITE KABILISTE S’OPPOSENT AU GLISSEMENT DE MANDAT DE KABILA

http://democratiechretienne.org/2015/09/14/7-partis-politiques-de-la-majorite-kabiliste-sopposent-au-glissement-de-mandat-de-kabila/

7 PARTIS POLITIQUES DE LA MAJORITE KABILISTE S’OPPOSENT AU GLISSEMENT DE MANDAT DE KABILA

par FreeDiomi le 14 septembre 2015

LETTRE DU G7 A KABILA






Concernant ces publicités

FREDDY KITA, SG DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DE DIOMI NDONGALA, INTERVIENT EN DIRECTE SUR LE PLATEAU DU JOURNAL DE TV 5 CONTRE LE 3° MANDAT DE KABILA – CAMPAGNE « CONGO DESIR » / VIDEO

FREDDY KITA, SG DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DE DIOMI NDONGALA, INTERVIENT EN DIRECTE SUR LE PLATEAU DU JOURNAL TELEVISEE DE TV 5 CONTRE LE 3° MANDAT DE KABILA – CAMPAGNE « CONGO DESIR » / VIDEO

par FreeDiomi le 28 août 2015
MINIATURE KITA TV5

FREDDY KITA, SG DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DE DIOMI NDONGALA, INTERVIENT EN DIRECTE SUR LE PLATEAU DU JOURNAL TELEVISEE DE TV 5 CONTRE LE 3° MANDAT DE KABILA – CAMPAGNE « CONGO DESIR » / VIDEO

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FREDDY KITA, SG DE LA DEMOCRATIE CHRETIENN…Voir l’article pour en savoir plus.
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http://democratiechretienne.org/2015/08/28/freddy-kita-sg-de-la-democratie-chretienne-de-diomi-ndongala-intervient-en-directe-sur-le-plateau-du-journal-televisee-de-tv-5-contre-le-3-mandat-de-kabila-campagne-congo-desir-video/

FREDDY KITA, LE SG DE LA DC, SUR FRANCE 24 LE 24 08 15

LA DC LANCE LA CAMPAGNE POLITIQUE DE CONSCIENTISATION ET LUTTE CONTRE LES ANTI-VALEURS « CONGO DESIR » LES DOSSIERS DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE SUR L’ACTUALITE DE LA RDC ET DU MONDE La persécution et le combat du Prisonnier Politique Eugène Diomi Ndongala

FREDDY KITA, LE SG DE LA DC, SUR FRANCE 24 LE 24/08/15

par FreeDiomi le 25 août 2015

https://www.youtube.com/watch?v=npe_-66P5YY

VIUDEO FRANCE 24024.08.15

http://democratiechretienne.org/2015/08/25/freddy-kita-le-sg-de-la-dc-sur-france-24-le-240815/

LA DC LANCE LA CAMPAGNE POLITIQUE DE CONSCIENTISATION ET LUTTE CONTRE LES ANTI-VALEURS « CONGO DESIR »

LA DC LANCE LA CAMPAGNE POLITIQUE DE CONSCIENTISATION ET LUTTE CONTRE LES ANTI-VALEURS « CONGO DESIR »

CONGO DESIR

LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC, LANCE LA CAMPAGNE POLITIQUE DE CONSCIENTISATION ET LUTTE CONTRE LES ANTI-VALEURS

« CONGO DESIR »

La DC lance la campagne « Congo Désir » / LA DEPECHE DE BRAZZAVILLE- AGENCE DE PRESSE ADIAC

La DC lance la campagne « Congo Désir » / LA DEPECHE DE BRAZZAVILLE- AGENCE DE PRESSE ADIAC

par FreeDiomi le 20 août 2015
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La DC lance la campagne « Congo Désir »

20 Août 2015

Cette action vise à endiguer la crise politique, sécuritaire, économique et sociale dans le pays, « qui ne fait que s’aggraver ».

Le secrétaire général de la Démocratie chrétienne (DC), Freddy Kita, a lancé, le 18 août à Paris, en France, la campagne « Congo Désir ».
CONGO DESIR
Pour ce haut cadre de la DC, le bien-fondé de cette campagne est d’endiguer la crise politique, sécuritaire, économique et sociale en RDC qui ne fait que s’aggraver et qui constitue, selon cette formation politique, une menace aussi bien pour la population congolaise que pour les autres peuples d’Afrique.
« Congo Désir » n’est pas, à en croire Freddy Kita, un nouveau parti politique mais plutôt une campagne politique qui vise à promouvoir un mouvement citoyen, populaire, dont l’objectif principal est celui de fédérer toutes les sensibilités politiques pour barrer la route aux promoteurs des valeurs anticonstitutionnelles qui veulent continuer à gouverner par défi, en violant impunément la Constitution.
La Démocratie Chrétienne veut aussi, par cette action, attirer l’attention de l’opinion nationale et internationale sur le fait que l’Afrique centrale est en train d’accroître ses dépenses militaires et la menace de nouveaux conflits pèse aussi bien sur les populations civiles que sur les états qui entourent la RDC, en ce moment si délicat où l’alternance et l’alternative politiques sont combattues par certains dirigeants africains prêts à sacrifier la paix et la stabilité de leurs pays sur l’autel de la confiscation personnelle du pouvoir d’état.
La DC justifie son action par sa crainte de voir la Majorité présidentielle multiplier des stratégies du chaos afin de se maintenir au pouvoir au delà de son deuxième mandat, alors qu’il se serait déjà prévalu d’un mandat « de fait », de 2001 à 2006 et de deux « mandats électifs contestés ».
Absence de véritable processus électoral
Le secrétaire général du parti cher au député Eugène Diomi Ndongala a fustigé l’impasse politique actuelle dans laquelle se trouve le pays. A en croire Freddy Kita, cette situation est caractérisée par l’absence d’un véritable processus électoral, l’absence de dialogue politique ainsi que la répression politique dont la manifestation la plus évidente est « la présence de nombreux prisonniers politiques et d’opinion dont la faute consiste à réclamer plus de liberté, plus de démocratie et le respect de la Constitution en vigueur ».
Ce haut cadre de la DC a également dénoncé une politique-spectacle qui vise à convaincre surtout la communauté internationale que la RDC est en train d’organiser des élections, alors qu’un véritable et cohérent processus électoral est complètement absent, « le calendrier électoral élaboré par l’actuelle Commission électorale nationale indépendante étant déjà caduc, dépassé et atomisé alors que les ressources financières budgétisées depuis 2012 pour les élections (plus de 700 millions de dollars) ont été détournées ».
Décrivant la situation actuelle que vit le pays, Freddy Kita a noté que pour la DC, le peuple congolais ne pourra accepter plus longtemps cette « situation de tentative de coup d’Etat permanent » qui passe, selon lui, entre autre, par le démembrement de certaines provinces, sans préparation financière ni logistique, qui risque de constituer un obstacle insurmontable pour la tenue des élections provinciales et locales, libérant des forces centrifuges qui pourraient provoquer la balkanisation de la RDC ; le détournement des fonds pour les élections, alors que la communauté internationale n’est pas disposée à financer des élections dont le calendrier est irréaliste et contraire aux priorités du pays, comme la subordination de l’élection présidentielle à des élections locales, jamais tenue en RDC; l’exclusion de millions d’électeurs en droit de vote et majeurs d’âges mais qui n’auront pas le droit de voter en violation de l’art.
La campagne « Congo Désir » lancée par la DC concerne toute l’étendue du territoire de la RDC, au sein de sa diaspora très engagée, auprès des amis du Congo et ceux là qui ont choisi la RDC comme leur deuxième patrie.

Lucien Dianzenza

Phttp://www.adiac-congo.com/content/vie-des-partis-la-dc-lance-la-campagne-congo-desir-37115

http://democratiechretienne.org/2015/08/20/la-dc-lance-la-campagne-congo-desir-la-depeche-de-brazzaville-agence-de-presse-adiac/

LE CANDIDAT FAVORI DU PARTI REPUBLICAIN DES ETATS-UNIS A LA PRESIDENTIEL LE DE 2016, DONALD TRUMP, REPROCHERAIT AU PRESIDENT BARACK OBAMA SA MOLLE SSE ENVERS JOSEPH KABILA DANS LE PROCESSUS DE LA DEMOCRATISATION DE LA R DC ET DANS « L’AFFAIRE EUGENE DIOMI NDONGALA » / Interprete du 13/08/2015

LE CANDIDAT FAVORI DU PARTI REPUBLICAIN DES ETATS-UNIS A LA PRESIDENTIELLE DE 2016, DONALD TRUMP, REPROCHERAIT AU PRESIDENT BARACK OBAMA SA MOLLESSE ENVERS JOSEPH KABILA DANS LE PROCESSUS DE LA DEMOCRATISATION DE LA RDC ET DANS « L’AFFAIRE EUGENE DIOMI NDONGALA » / Interprete du 13/08/2015

par FreeDiomi le 13 août 2015
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Selon le FMI, RDC : pays le plus pauvre du monde / TEMPETE DES TROPIQUES

Selon le FMI, RDC : pays le plus pauvre du monde / TEMPETE DES TROPIQUES

par FreeDiomi le 24 juillet 2015
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24 juillet 2015

Selon le FMI, RDC : pays le plus pauvre du monde

Le PIB/habitant s’élève à 394,25$US/an, soit 32,8$US/mois ou 1$US/jour. 87,7% de Congolais vivent en dessous du seuil de pauvreté, des statistiques qui donnent des frissons

Sans surprise, la République démocratique du Congo (RDC), scandaleusement riche, est paradoxalement classée comme pays le plus pauvre du monde, sur base de chiffres du Fonds Monétaire International compilés entre 2009 et 2013 et publiés par Global Finance Magazine.
Ce classement des pays s’appuie sur le produit intérieur brut par habitant, et inclut la parité du pouvoir d’achat qui prend en compte le coût de la vie et l’inflation dans chaque pays.
La République Démocratique du Congo est le pays le plus pauvre du monde d’après ce classement. En moyenne, le produit intérieur brut (PIB) par habitant s’élève à 394,25 dollars par an, soit 32,8$US/mois ou 1$US/jour. 87,7% de Congolais vivent en dessous du seuil de pauvreté, des statistiques qui donnent des frissons.
Mais selon des propos distillés par les dirigeants congolais, » la RDC va mieux… « , il y a » croissance économique « , » le social des Congolais s’améliorent… « , sans oublier la » stabilité du cadre macro-économique « …
Pourtant, la majorité écrasante des Congolais vivent avec 1$/jour, soit 1 000 FC, tel que l’atteste le FMI. Mais les dirigeants qui sont aux affaires s’enrichissent à une vitesse exponentielle, au point de devenir des millionnaires en un clin d’œil. Des catastrophes économiques et financières sont enregistrées quotidiennement.
On a vu des membres du gouvernement verser dans des scandales de détournement, sans pour autant être poursuivis par les juridictions compétentes.
C’est à peine qu’une lettre de dénonciation a été récemment déposée au bureau du procureur général de la République pour mettre un terme à ces abus.
Ce tableau indique que parmi les 25 pays les plus pauvres du monde, 21 sont en Afrique. Le premier pays non-africain de cette liste est l’Afghanistan, classé 10ème pays le plus pauvre au monde.
Dans ce triste classement, figurent le Zimbabwe où le PIB par habitant s’élevait à 589 dollars par habitant en 2013, le Burundi où il s’élève à 649 dollars par habitant, et le Libéria avec un PIB de 716 dollars par habitant.
A l’opposé, le classement du Global Finance Magazine met également en évidence les pays les plus riches du monde.
Le Qatar, avec un produit intérieur par habitant de 105.091 dollars, arrive en tête. Il faut noter que ce classement ne tient pas compte d’énormes disparités dans chaque pays qui sont très courantes en Afrique.
De plus, le classement ignore d’autres indicateurs importants tels que l’espérance de vie, la qualité de vie des habitants ou encore le taux d’alphabétisation. Il faut espérer que la forte croissance économique du continent africain profite au plus grand nombre.
Par Lefils Matady

http://7sur7.cd/new/selon-le-fmi-rdc-pays-le-plus-pauvre-du-monde/

Freddy Kita, SG de la Démocratie Chrétienne (DC), un VIP au Congrès du Parti Socialiste à Poitiers /FREDDY MULONGO

Freddy Kita, SG de la Démocratie Chrétienne (DC), un VIP au Congrès du Parti Socialiste à Poitiers

Par Freddy Mulongo, mercredi 10 juin 2015 à 11:54 :: Radio Réveil FM International
Congrès du PS à Poitiers, Freddy Kita, le Secrétaire Général de la Démocratie Chrétienne (DC). Photo Réveil FM International Invité VIP du 77 è congrès du Parti Socialiste à Poitiers, Freddy Kita, le Secrétaire Général de la Démocratie Chrétienne (DC) se bonifie en politique. Il devient de plus en plus la Force tranquille. Celui qui martèle que son président Eugène Diomi Ndongala, est le prisonnier politique d’alias Joseph Kabila, est entrain de gagner son pari. Depuis que Freddy Kita a pris son bâton de pèlerin pour sillonner le monde, expliquer, convaincre et gagner la bataille de l’opinion internationale, Eugène Diomi Ndongala, victime d’un régime arbitraire, est de plus en plus connu en Occident qu’alias Joseph Kabila, l’incapacitaire de Kingakati qui dirige par défi, la République démocratique du Congo.Congrès du PS à Poitiers, Freddy Kita, le Secrétaire Général de la Démocratie Chrétienne (DC). Photo Réveil FM InternationalEn enfermant arbitrairement Monsieur Eugène Diomi Ndongala à la prison de Makala, après un complot avec des preuves farfelues, alias Joseph Kabila, ses sbires et apparatchiks ventripotents corrompus croyaient pâlir l’étoile politique du président de la Démocratie Chrétienne. C’est le contraire qui est entrain de se produire, l’opinion internationale s’intéresse de plus en plus au cas Diomi Ndongala. Attention donc à l’effet boomerang. En Afrique, il est arrivé qu’un président de la République, usurpateur, tricheur aille en prison et un prisonnier politique occupe le fauteuil présidentiel. Freddy Kita, Manuel Valls à Poitiers. Photo Réveil FM InternationalFreddy Kita, Felix Tshisekedi et Laurent Fabius à Poitiers. Photo Réveil FM InternationalHarlem Désir et Freddy Kita à Poitiers. Photo Réveil FM internationalFreddy Kita étoffe, enfile et boutonne de mieux en mieux son costume d’acteur politique de premier plan. C’est le Secrétaire Général de la Démocratie Chrétienne qui a accueilli les délégués africains invités au congrès du Parti Socialiste à Poitiers.Freddy Kita et Mathias Ndzon du Congo-Brazzaville. Photo Réveil FM internationalFreddy Kita et Mathias Ndzon du Congo-Brazzaville. Photo Réveil FM internationalFreddy Kita et Mathias Ndzon du Congo-Brazzaville. Photo Réveil FM internationalFreddy Kita et Ousmane Tanor Dieng, Secrétaire Général du parti Socialiste Sénégalais. Photo Réveil FM InternationalLire la suite

http://www.reveil-fm.com/index.php/2015/06/10/5601-freddy-kita-sg-de-la-democratie-chretienne-dc-un-vip-au-congres-du-parti-socialiste-a-poitiers

« Répression violente d’une marche pacifique de l’UDPS à Ki nshasa et Mbuji-Mayi» – COMMUNIQUE DE PRESSE N° 10/ACAJ/2015

« Répression violente d’une marche pacifique de l’UDPS à Kinshasa et Mbuji-Mayi» – COMMUNIQUE DE PRESSE N° 10/ACAJ/2015

par FreeDiomi le 27 avril 2015
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« Répression violente d’une marche pacifique de l’UDPS à Kinshasa et Mbuji-Mayi» – COMMUNIQUE DE PRESSE N° 10/ACAJ/2015

27 avril 201527 avril 2015 DRC, DROIT A LA LIBRE EXPRESSION, droits civils et politiques, DROITS DE L’HOMMEDEMOCRATIE CHRETIENNE, DRC, DROIT A MANIFESTER, DROITS CIVILS ET POLITIQUES, RDC, UDPS

COMMUNIQUE DE PRESSE N° 10/ACAJ/2015

« Répression violente d’une marche pacifique de l’UDPS à Kinshasa et Mbuji-Mayi»

Kinshasa, le 26 avril 2015 – L’Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ) condamne la répression violente de la marche pacifique de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), parti de l’opposition, le vendredi 24 avril 2015.
Le 24 avril 2015, l’UDPS a organisé cette marche à Kinshasa et Mbuji-Mayi pour exiger une enquête indépendante et crédible sur l’enterrement de 421 personnes dans une fosse commune à Maluku.
Des partis alliés à elle dont la Démocratie Chrétienne (DC) s’y étaient joints.
A Kinshasa, vers 10 heures, la police a violemment dispersé les membres de ces partis qui s’étaient regroupés à la place victoire et arrêté vingt membres de l’UDPS dont M. Bruno TSHIBALA NZENZHE, secrétaire général adjoint chargé des questions politiques, juridiques et porte parole, et dix de la Démocratie Chrétienne. Les policiers leur ont administré des coups de matraque, de poing et de pieds; ont roulé certains par terre, déchiré leurs habits, arraché leurs pièces d’identité, téléphones, montres et argent.
Le Porte- parole de l’UDPS et ses deux camarades – M. Christian LUKUSA et Joël NZAU- ont été détenus au commissariat de Kalamu et puis au Commissariat provincial de Kinshasa. Ils ont été libérés vers 16h40 du même jour après plusieurs interventions dont celle des avocats de l’ACAJ.
Les membres de la DC dont MM. Benjamin MAFUALA, Herman LOWA, Johnny BUTUMBI et Jean Claude LUSA LUANZAMBI ont été détenus au commissariat de Kalamu, et libérés eux vers 20 heures. Les policiers ont aussi brutalisé le journaliste Eliezer TAMBWE et son caméraman qui couvraient la marche, endommagé méchamment et saisi sa camera avant de les libérer vers 17 heures.
A Mbuji-Mayi, la police a dispersé dans les mêmes conditions qu’à Kinshasa les membres de l’UDPS réunis à la place SMIS et arrêté M. Denis KALOMBO et une vingtaine d’autres militants, qui sont en détention jusqu’à ce jour.
L’ACAJ a obtenu de l’UDPS une preuve matérielle établissant que les autorités politico administratives étaient bel et bien informées de cette marche conformément à l‘article 26 de la constitution qui dispose que la liberté de manifestations est garantie. Toute manifestation sur les voies publiques ou en plein air impose aux organisateurs d’informer par écrit l’autorité administrative compétente.
« Nous condamnons fermement la répression violente de la marche de l’UDPS. La mission de la police consiste à protéger les personnes et leurs biens et s’étend à la préservation de l’exercice des libertés publiques par les citoyens», a déclaré Me Georges Kapiamba, Président de l’ACAJ.
« Le Gouvernement doit faire cesser les atteintes récurrentes à l’exercice des libertés publiques, surtout pendant cette période préélectorale, et s’assurer que les partis politiques de l’opposition s’expriment librement sur les questions de la société », a-t-il ajouté.
L’ACAJ exige la libération de tous les manifestants encore en détention et une enquête indépendante sur la répression de la marche en vue de faire sanctionner pénalement et/ou disciplinairement les auteurs.
Elle demande au Gouvernement d’assurer la protection des journalistes, cameraman et photographes ainsi que leur travail.
L’ACAJ appelle les victimes à déposer plaintes contre les commandants de la police qui ont piloté la répression ainsi que les autorités politico-administratives qui les auraient réquisitionnés; et s’adresser aux organes de traités si elles ne sont pas traitées au niveau national.

Pour contact presse :
Me Georges Kapiamba, Président de l’ACAJ
Téléphone : +243 81 404 36 41
Email : kapiambag ou acajasbl

http://acaj-asbl.org/2015/04/27/repression-violente-dune-marche-pacifique-de-ludps-a-kinshasa-et-mbuji-mayi-communique-de-presse-n-10acaj2015/

LA RECENTE TENTATIVE ANORMALE D’EXFILTRATION DU PRISONNIER POLITIQUE EUGENE D IOMI NDONGALA INQUIETE HRW ET AMNESTY INTERNATIONAL / INTERPRETE DU 27/04/2015

LA RECENTE TENTATIVE ANORMALE D’EXFILTRATION DU PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA INQUIETE HRW ET AMNESTY INTERNATIONAL / INTERPRETE DU 27/04/2015

par FreeDiomi le 27 avril 2015
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* Pour agrandir le texte, cliquez sur l’image de l’article
http://democratiechretienne.org/2015/04/27/la-recente-tentative-anormale-dexfiltration-du-prisonnier-politique-eugene-diomi-ndongala-inquiete-hrw-et-amnesty-international-interprete-du-27042015/

LA RDC COURT LE RISQUE DE DEVENIR « INFREQUENTABLE » EN CAS DE CONDAMANTION PAR LA COUR INTERNATIONALE DES DROITS DE L HOMME DE L’ ONU A GENEVE DANS L’A FFAIRE DE L’ARBITRIRE JUDICIARE KABILISTE A L’ENDROIT DE L’OPPOSANT RD-CONGO LAIS EUGENE DIOMI NDONGALA ENTRE CE MOIS D’AVRIL ET JUIN 2015 / L’INTERPRETE

LA RDC COURT LE RISQUE DE DEVENIR « INFREQUENTABLE » EN CAS DE CONDAMANTION PAR LA COUR INTERNATIONALE DES DROITS DE L HOMME DE L’ ONU A GENEVE DANS L’AFFAIRE DE L’ARBITRIRE JUDICIARE KABILISTE A L’ENDROIT DE L’OPPOSANT RD-CONGOLAIS EUGENE DIOMI NDONGALA ENTRE CE MOIS D’AVRIL ET JUIN 2015 / L’INTERPRETE

par FreeDiomi le 23 avril 2015
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La plupart des ambassadeurs des pays en poste de service à Kinshasa ne comprendraient rien de l’esprit « s’en-foutiste » du régime Kabila dans le dossier de la plainte de l’opposant rd-congolais Eugène Diomi Ndongala en cours de traitement avancé à la Cour internationale des Droits de l’homme des Nations Unies basée à Genève (Suisse) pour lequel la RDC tend à être condamnée et avec comme conséquence directe son entrée dans le rangs « des pays infréquentables » de la planète.
Il fut même un moment où des bruits avaient couru dans un secteur de travail de la Présidence de la République que le président Joseph Kabila, pour régler cette affaire une fois pour toute, avait désigné son épouse, Marie-Olive Lembe Disita Kabila, avec son conseiller juridique privé Emmanuel Luzolo Bambi Lessa, à cause de l’appartenance de ceux-ci à l’ethnie Ne-Kongo, pour négocier discrètement le retrait de la plainte dans les conditions qui seraient exigées par le plaignant. Mais curieusement ce contact n’a jamais eu lieu. Et chose grave encore, le parquet Général de la République avait, dans la semaine de lundi 13 avril 2015, envoyé quatre agents au CPRK pour y faire extraire M. Eugène Diomi Ndongala afin de l’acheminer – en taxi – dans son siège du building INSS, dans la commune de la Gombe, pour l’entendre sur un nouveau dossier judicaire le concernant tandis que des rumeurs ayant couru à ce sujet faisaient état de la tentative de son transfert carcéral à la prison de Buluwo, au Katanga.
Il a été donné de savoir, dans un milieu helvétique dans la ville de Kinshasa que la tendance actuelle en ce qui concerne le traitement de l’affaire Eugène Diomi Ndongala, marcherait sur la condamnation de la RDC avec l’obligation à lui faire pour la libération immédiate du prisonnier politique dont question ici, assortie de sa réhabilitation, son dédommagement et l’engagement formel pour que d’injustice si graves ne se reproduisent plus jamais dans le futur.
Ce processus pourrait intervenir, selon la source susmentionnée, entre fin avril et mi-juin 2015.

Ce faisant, M Eugène Diomi Ndongala sera libéré aussi vrai que dans la préséance judiciaire mondiale, un jugement émis en faveur d’un plaignant par une structure internationale est supérieur par rapport à celui rendu par un tribunal national tandis que la RDC, après sa condamnation, sera regardé comme étant un pays infréquentable avec comme conséquence que les investisseurs étrangers hésiteraient ou se retiendraient à aller placer leur argent dans la mise en œuvre de quelque affaire productive dans son territoire, car la RDC sera condamné pour non respect des droits civils et politiques.

Un Etat normal n’accepterait pas de sacrifier, entre autre, ses intérêts économiques ou stratégiques rien que pour la satisfaction de l’orgueil de ses dirigeants.
A ce qu’on voit, le président Joseph Kabila, qui ne serait même pas candidat à la présidentielle de 2016, ne se soucie pas des intérêts préservables du peuple rd-congolais, et rien que pour la satisfaction de son orgueil personnel de réprimer un leader politique de l’opposition injustement incarcéré.
Ce qui n’est pas du tout normal. Comme vient de déclarer Kyungu, Président de l’Assemblée provinciale du Katanga, sur une radio nationale, « continuer à maintenir les prisonniers politiques en prison est un affront envers Dieu, car ceux-ci sont des innocents« .
L’INTERPRETE
23/04/2015

http://democratiechretienne.org/2015/04/23/la-rdc-court-le-risque-de-devenir-infrequentable-en-cas-de-condamantion-par-la-cour-internationale-des-droits-de-l-homme-de-l-onu-a-geneve-dans-laffaire-de-larbitrire-judiciare-kabiliste-a-l/